Septembre 2011:
C'était ma rentrée au lycée, la seconde, la liberté et les nouvelles rencontres...
Petite dans un nouveau monde, il fallait que je reconstruise ma bulle... Que je recommence mes films, mes histoires, que je me construise dans ce nouvel envirronement: le lycée .
Quelques semaines ont passés quand j'ai remarque un beau blond, aux yeux bleus , pour moi, c'était comme un dieu. Au collège, les beaux garçons ne courraient pas les rues... Un voir deux mais pas plus. Mais alors là, il est apparu devant moi comme l'incarnation parfait de la beauté, du style et de la grande classe. A chaque fois que je le croisais, mes yeux s'attardaient sur lui. Je remarquai aussi que des ses potes, se trouvait un beau brun, avec le regard troublant. mais il restait plus discret. je trouvais qu'ils se ressemblaient... je voyais plus le blond que le brun... A l'époque, ça m'importait peu... Je croyais qu'ils étaient en terminal, ou en première...
Octobre 2011:
C'est vers la fin du mois d'octobre que j'ai commencer à en savoir un peu plus sur eux. J'étais avec une amie, sur les bancs, elle pleurait et le blond est passé dans le couloir, et est venu lui dire bonjour. Ca m'a étonné ! Une fois, qu'il était loin, elle m'a dit " Il était dans mon collège, il m'ignorait totalement. Il s'appelle Juan ( ce n'est pas son vrai prénom ) et il a un frère jumeau , qui s'appelle Azur. " Ca a fait "TILT" dans ma tête, j'ai eu une angoisse. Un mauvais souvenir refit surfasse en entendant ce prénom. le même que le garçon que j'avais aimé pendant deux ans, qui m'avait fais souffrir, et qui ne m'aimait pas, il me l'avait dit simplement. Azur, ce beau brun aux yeux noirs, avait le même prénom... un peu comme une malédiction. Une espèce de haine s'emparra de moi, mais au même instant, mon coeur se réchauffait. Lui qui était dur comme pierre, glacé, et inexpressif depuis le mois de juin, depuis qu'il m'avait dit "non" .
Il était en seconde aussi, il s'appelait Azur, et j'en oubliait son frère Juan... qui me paraissait tout de suite moins beau qu'Azur. Désormais je ne voyais que lui, comme si son prénom déclenchait en moi, un chanboulement et la perte de la raison. Mais il me faisait peur, trop grand, trop mystérieux, trop froid, trop discret...